COUP DE GUEULE DU JOUR, 09/03/2016 :

              Halte à la sous-france, que vive l’Etat Fédéral de Savoie.

Première page du dauphiné ligoté du jour :

Bourg-Saint-Maurice : LA FIN DU TRAIN DE NUIT.

Il parait que la ligne coûte cher, la preuve lorsqu’un caillou tombe sur la voie ferrée la SNCF réclame 1 000 000 € à la commune propriétaire de ce caillou.
Oui à Paris ils ne savent pas que la Savoie est un pays montagneux.
Pourtant il me semble que la SNCF est une société de service public ce qui signifie bien que les couts d’exploitation de ce service ne doit pas influencer sur la marche de ce service,  non ??
Par ailleurs cette société et ses filiales n’hésitent pas à se lancer dans des investissements faramineux du type ligne TGV Lyon-Turin sachant par avance que ce projet et cette réalisation ne sera jamais rentable !!!!! il va falloir que l’on nous explique car nos élus en sont incapables !!!
Donc, une fois de plus Paris nous démontre bien que de venir ramasser les royalties de nos stations ou du tourisme que permet notre géographie montagnes, lacs, torrents, barrages etc les intéressent, mais permettre à nos Savoisiennes et Savoisiens de faible revenu          d’utiliser le service public pour se déplacer et bien, ils n’en ont que faire et démerdez    vous !!!
Je parle des citoyens qui n’ont pas de véhicule mais je peux aussi dire que le jour où nos routes de montagnes sont coupées pour X raisons et bien il ne nous saura plus possible de se rendre d’Albertville à Bourg-Saint-Maurice et vice versa car il n’existera plus d’autre moyen, pardon si, l’hélicoptère !! mais en aurons nous les moyens !!
Savoisiennes, Savoisiens, réveillez-vous car nos élus dorment, ils n’ont que faire de ce problème.
Vous ne pourrez pas dire demain que vous ne saviez pas.
C’est encore un exemple type de colonisation de notre territoire:                                   EXPLOITATION DES RICHESSES DE NOTRE TERRITOIRE, IGNORANCE DES BESOINS DE LA POPULATION.
Ce sera mon coup de gueule du jour.                                                                                          Pierre Biguet

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